Les échos

Des pierres que voici, Dieu peut faire surgir des enfants à Abraham

C’est un avertissement à ceux qui se figuraient que d’être membre du Peuple élu était une position acquise, un privilège sur lequel ils pouvaient se reposer mollement. Non décidément ce n’est pas une sinécure d’appartenir au groupe de ceux que Dieu a choisis pour se manifester au monde !

Comme aux jours de Noé

Le Seigneur Jésus nous parle en ce premier dimanche de l’Avent de son retour (l’ « avènement » du Fils de l’Homme) et il le compare à ce qui s’est passé au moment du Déluge. La ressemblance porte sur deux points : il s’agit d’abord de la soudaineté de l’évènement qui prend tout le monde au dépourvu

Christ-Roi : de quoi s'agit-il ?

  Depuis que la fête du Christ-Roi (inaugurée par le Pape Pie XI) est passée de la fin octobre à la fin novembre à l’occasion du nouveau calendrier, son objectif a légèrement changé : fête de la souveraineté du Christ sur l’ordre temporel, elle est devenue davantage l’annonce du règne futur de Jésus.

Il apportera la guérison dans son rayonnement

Difficile de ne pas penser en entendant cette phrase du prophète Malachie à la vision de sainte Faustine qui a donné cette image si répandue aujourd'hui et où on voit le Cœur de Jésus rayonnant de lumière et inondant le monde de sa vivifiante clarté.

Mourir pour ne pas manger du porc  ?

Le livre des Maccabées (on comprend pourquoi ce nom propre a pris chez nous une telle connotation !) est rempli de scènes de violence, généralement perpétrées par les séides du roi grec Antiochus qui voulait faire l’unité religieuse...

Le jour du Seigneur est-il sur le point d'arriver ?

A cette question, il faut répondre évidemment : oui ! Si ce n’est pas pour ce soir, c’est que ce sera pour demain.   Nous sourions quand nous voyons les premiers chrétiens à l’affût d’une lettre de saint Paul qui leur dirait : « ce coup-ci, c’est bon, Il arrive, soyez prêts ! »...

Dieu me fera entrer au ciel

Saint Paul au soir de sa vie regarde le chemin parcouru et n’hésite pas à dire qu’il n’a plus qu’à recevoir la récompense du vainqueur. Présomption ? Oubli de sa faiblesse pourtant si souvent affirmée dans ses lettres ?